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De retour des côtes Australiennes où il enregistra avec Padma Newsome son quatrième disque à Mallacoota, le sieur Daniel Hélin vient chantonner et dire aux oreilles de nouvelles choses toutes fraîches. C’est tout seul comme un grand qu’il vous invite à partager avec lui ces fables et histoires accompagné à la guitare dans un beau désir de communion avec l’espace temps de nos dérisoires incarnations humaines. Il est possible que ce répertoire soit traversé d’auto-reprises des disques précédents ainsi que d’improvisations intempestives et joyeuses dans la tentative plus au moins assumée de la performance. En tout cas et en l’occurrence, il jubile et savoure d’avance de vous offrir ce cadeau scénique comme un joyeux goret à l’ouïr de l’arrivée de l’écuelle. Où plutôt comme un poète à ressorts resté trop longtemps dans sa boîte à musique...
http://www.danielhelin.be

Thierry Tinlot (Le Soir), Thierry Syfer (Hors Série) et quelques complices vont vous régaler de morceaux endiablés des années soixante et septante...

Le plus grand des hasards est à l’origine de la rencontre des membres du Postman Yelpers qui sont en fait les six uniques rescapés de la tragédie du Pont de Luttre. Cet accident ferroviaire fit plus de quatre vingt victimes (67 avant la reconstitution) en 1974. C’est au cours des longues séances de revalidation que ces miraculés se découvrent une passion commune pour la Marimbula cubaine qui devait les amener, une fois sur pieds à s’embarquer pour la Havane afin de suivre l’enseignement dispensé par le grand maître José Raúl Capablanca y Graupera. Celui-ci parviendra, après plusieurs mois d’efforts à les convaincre de renoncer définitivement à cet instrument. La suite sur scène pour un délire ravageur.
www.myspace.com/postmanyelpers

De retour des côtes Australiennes où il enregistra avec Padma Newsome son quatrième disque à Mallacoota, le sieur Daniel Hélin vient chantonner et dire aux oreilles de nouvelles choses toutes fraîches. C’est tout seul comme un grand qu’il vous invite à partager avec lui ces fables et histoires accompagné à la guitare dans un beau désir de communion avec l’espace temps de nos dérisoires incarnations humaines. Il est possible que ce répertoire soit traversé d’auto-reprises des disques précédents ainsi que d’improvisations intempestives et joyeuses dans la tentative plus au moins assumée de la performance. En tout cas et en l’occurrence, il jubile et savoure d’avance de vous offrir ce cadeau scénique comme un joyeux goret à l’ouïr de l’arrivée de l’écuelle. Où plutôt comme un poète à ressorts resté trop longtemps dans sa boîte à musique...
http://www.danielhelin.be

Jeudi 2 février 2012 à 19h.

Née en Haïti dans la Vallée de Jacmel le 3 août 1991, Dyna B est la soeur du danseur chorégraphe Nono Battesti. Elle suit d’abord une formation de danseuse polyvalente à Artendance (Belgique) et au Lycée Martin V (Belgique). Ses passions lui font découvrir le Hip-hop avec Ghislain Tshilomba, Annissa Boussala, Abdel Temsamani, Tony Stone et à l’académie “Alvin Aley” de New York., le Ragga avec Virginie Electeur, la Danse Classique avec Sylvie Van Der Ecken, Véronique Decombe et Anne Goblet, la danse contemporaine avec Mylena Leclerc, Carole Frere,Laurence Laforce, Sylvia Ubieta, Nadine Ganase. Ensuite ce sera la chanson avec Maud Moucheron, Martine Kivits et Myriam parallèlement avec une formation de piano avec Bernard Lhoir et Marc Keyaert. Le résultat : « Take a Break » un premier album attendrissant produit par Olivier son père (Mamemo)
www.dyna-b.com

Julie LaRousse chante en français sur une musique teintée de soul. Les mots font la part belle au rythme, à la musicalité, le groove a une place centrale. On devine les influences de Nougaro, James Brown, Jacques Higelin.. Ses chansons questionnent la femme et ses diverses figures, parlent d’amour, du rapport à l’autre ou du temps qui passe... www.myspace.com/laroussejulie
www.dyna-b.com

L’heure du loup, c’est l’heure où la nuit se termine…
La musique de ces trois musiciens allumés, c’est du haut vol d’images sonores ! Décalée, déjantée, elle vous plonge dans l’obscurantisme. Toute en ambivalence : côté pile, une fête révolutionnaire cubaine ou un cabaret ethnique sur vocalises délirantes ; côté face, une fresque tribale.
Cette fabrication « made in Belgium » zigzague entre la mélancolie de l’alto, l’humour et la poésie. Un monde particulier, celui des Auréliens, à découvrir aussi sur scène car ce duo dégage une énergie et une complicité rare. C’est brut et beau, c’est un voyage sans fin… Allons-y !

Het uur van de wolf is het uur voor zonsopgang. Het is het uur waarin de meeste mensen sterven, waarin de slaap het diepste is en waarin dromen en nachtmerries het sterkste zijn. Het is ook het  uur waarin de meeste kinderen geboren worden. In het creatieproces van hun nieuwe, derde CD ging Aurelia op zoek naar deze state of mind en vanuit deze onderliggende stromingen van emoties werd er gewerkt naar compositie en arrangement toe. Dit leverde een introspectief maar zeer kaleidoscopisch palet aan stijlen en akoestische klanken op.

www.aurelia-feria.com

Cette formule épurée est une des meilleures réussites du bluesman et du chanteur. Son humour, sa science du blues des années trente, argumenté de la connaissance de plus en plus raffinée de son instrument (ceux par exemple construits de ses mains propres), sa voix naturellement rauque et chaleureuse, profilent tous les ingrédients d'un récital exceptionnel et distrayant, pour tous les publics et d'une qualité artistique rarement atteinte.

www.marc-lelangue.net